lundi 29 novembre 2010

Ohlala n°90 (Travel validation, Boots and Mouse)

Hier, j'ai reçu mon autorisation de voyage signée par mon organisme de stage ! Donc c'est bon, je suis légalement autorisée à quitter le territoire américain et à y revenir après un petit séjour français fin décembre-début janvier. Dans les jours qui viennent je vais d'ailleurs créer une page qui expliquera tout sur comment faire avec tous les papiers pour devenir stagiaire aux Etats-Unis - mais vous vous en moquez, ce que vous voulez savoir c'est si j'ai acheté mes bottes.

Eh ben oui !! J'ai même acheté deux paires, les bottes cavalières que je vous ai montrées en photo hier et puis d'autres bottes moches, très moches (photo à venir, promis) mais alors pour le coup si elles sont pas étanches je sais plus quoi inventer.

Ceci dit, ici, il fait encore entre 7 et 10°C dans la journée et la nuit je peux sortir sans écharpe sans le regretter, donc j'en aurai pas l'utilité tout de suite, il est pas près de neiger. Par contre dites donc, à peu près partout ailleurs sur le globe, ça tombe dru et tout le monde se fait une joie de le raconter sur Facebook, Twitter, au téléphone, en photos, etc. Vous êtes si mignons. Pour la peine, au cas où vous ne seriez pas mon ami Facebook et que vous auriez donc raté l'un de mes derniers statut, je vous mets un lien vers une planche de BD marrante : http://www.bouletcorp.com/blog/index.php?date=20101128.

Là, il est 1h18 du matin et je suis en panne d'inspiration pour trouver une autre merveilleuse transition semblable aux deux premières de cet article. Donc je vous l'annonce tout simplement : notre souris (Joséphine pour les intimes) a refait son apparition ce soir (après m'être apparue en rêve, elle se jetait à mon visage pour essayer de me voler un cookie) au son des hurlements de Magda. Apparemment la coquine ne se contente plus du sol, elle se promène désormais sur le comptoir à côté de l'évier et court gaiement se réfugier dans le four quand on la découvre en slalomant entre la machine à café et l'égouttoir.

Résultat j'ai gagné des bonbons qu'Aris gardait dans sa chambre et dont elle ne veut plus de perdre d'attirer la souris, alors qu'elle déménage demain matin. 
Comme je suis la seule à ne pas être terrifiée par le rongeur maléfique, c'est aussi moi qui me suis dévouée pour aller jeter à la poubelle les déchets d'Aris et qui ai fait la vaisselle de Magda ET Aris parce qu'elles n'osaient plus entrer dans la cuisine.
Après ça, qu'on vienne plus jamais me dire dans un mail que je suis "inconsiderate of others", merci.

La presque bonne nouvelle, c'est qu'Audrey envisage à nouveau d'adopter un chat !!
Bon par contre elle considère qu'à partir du moment où on quittera l'appart, elle se débarrassera de la bête, ce qui est aussi inhumain que débile puisqu'alors les souris reviendraient tout de suite - oui mais ça pourrait lui faire perdre des colocs qui refuseraient de vivre avec un chat. 
Si ça peut aider à prendre une décision, je veux bien lancer un sondage pour savoir quel pourcentage de colocs préfèrent vivre avec un chat ou une souris.

En tout cas, me voilà de nouveau pleine d'espoir !


4 commentaires:

  1. Un bonhomme de neige taversois29 novembre 2010 à 13:38

    On pourrait lui envoyer par Chronopost un de nos matous (que tu ramènerais sous ton bras au mois de Mai), seulement je pense que le minou n'apprécierait pas le voyage...Quant aux bottes, tu as bien fait de les acheter, tu les apprécieras quand tu auras autant de neige qu'à Tavers en ce moment !

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  2. C'est surtout Audrey qui serait incapable d'apprécier le sacrifice valeureux de nos nobles compagnons fourrés.

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  3. Le maître de ces charmants félins29 novembre 2010 à 15:40

    Lesquels nobles compagnons fourrés n'aiment pas du tout que leur ventre se transforme en soc de charrue quand ils tracent leur sillon dans la neige.Du coup, ils restent à l'intérieur en maugréant...et fondent sur le carrelage !

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  4. La neige, c'est peut-être beau, mais quand on passe plus de deux heures à la déblayer, côté rue et côté jardin, ça met un peu le corps en compote, ce qui est mon cas actuellement. Je n'en avais jamais vu une telle épaisseur dans la région, du moins aussi loin que mes souvenirs remontent (sauf les congères de Beauce de 1979) et c'est vrai que les chats ne devaient pas atteindre le sol avec leurs pattes à cause de leur ventre qui touchait...
    En fait, ils ne sont pas idiots, ils passent toujours là où la couche est la moins profonde, le long des murs par exemple, ou le long des haies.

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