mardi 24 mai 2011

Ohlala n°239 (Administration fails)

Oyez oyez braves lecteurs assidus, j'ai reçu un mail de confirmation : mon dossier de master est complet et va être examiné.
22 jours après l'avoir envoyé, on peut dire qu'ils sont minutieux pour vérifier chaque pièce.
La bonne nouvelle c'est que visiblement il n'y aura pas d'entretien, puisqu'il est écrit que la décision sera rendue après étude approfondie du dossier.
Plus besoin donc de se déplacer à Paris pour tenter de convaincre un jury que je suis une journaliste dans l'âme, ils le devineront rien qu'en lisant mon dossier. Rempli de fautes d'anglais. Moui moui moui.
On dirait que les critères d'admission évoluent au fil des jours. Tout cela renforce ma confiance dans la personne qui a répondu à mon email du mois de mars le dernier jour de soumission des dossiers et qui m'avait affirmé que tout le monde passerait un entretien.
S'ils sont assez dégourdis pour tomber sur ce blog, ce qui n'est pas extrêmement difficile, je suis assurée de ne pas être prise. On est souvent un peu chatouilleux vis-à-vis des critiques au sein de cette institution. Dommage, c'est pourtant grâce à elles qu'on peut apprendre beaucoup de choses sur soi.

Autre mail reçu ce matin : un rappel de ceux qui gèrent nos stages pour me demander d'envoyer une fiche d'évaluation remplie par mon maître de stage. Ce qui est embêtant c'est que Molly l'a envoyée il y a deux mois.

Difficile de savoir ce qui se passe avec C., la responsable des stages de 3A, mais je finis par douter qu'elle existe encore. La plupart des derniers mails qui nous étaient adressés étaient envoyés par quelqu'un d'autre et on m'a déjà redemandé un autre document pourtant bien envoyé en temps donné, dans un message qui disait en substance "nous savons que vous l'avez envoyé mais nous ne l'avons plus".

Quels que soient les raisons des court-circuits de C. opérés régulièrement par l'administration, ça ne fait pas très sérieux. Si seuls les étudiants s'en rendaient compte, après tout, ça ne serait pas bien grave puisque quoi qu'il arrive c'est un sport national en France de taper sur l'administration. Sauf que là, je vais probablement devoir demander à Molly de re-rédiger en entier ce document qui a été perdu...
Pour le titre d'établissement à la carrure internationale, il va encore falloir bosser un peu - et surtout parvenir à gérer l'augmentation démentielle des effectifs au cours des dernières années.

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